PARIS, JE TE QUITTE !
« Il y a un temps pour tout », disait ma grand-mère lorsque je décidais de changer de sport, d’études ou de coupe de cheveux. À cette époque, je multipliais les allers-retours banlieue – gare du Nord avec des paillettes plein les yeux. Paris m’appelait. Ses restos, ses musées, ses monuments, ses cafés, ses bars, ses évènements en pagaille… Tout ça allait me nourrir. Et il le fallait. Parce qu’au fin fond du 95, je me perdais.